gull 591350 640 600Dans le cadre du déconfinement, les déplacements dans la limite de 100km (distance calculée « à vol d’oiseau ») sont autorisés sans attestation.

Si le site Géoportail est le plus connu pour calculer cette distance, la méthode la plus simple est mise à disposition par un éditeur de solutions de cartographie ESRI France.

Il a mis en ligne un outil pour pouvoir visualiser rapidement et facilement la distance qu'il est possible de parcourir sans attestation. Saisissez simplement le nom de votre commune dans le champ de recherche et validez.

Vous verrez alors le périmètre de 100 km à vol d'oiseau (cercle), et les limites de votre département s'il dépasse.

 Vous pouvez aussi vérifier si une commune est dans la zone (point vert) ou en dehors (rouge), avec la seconde zone de recherche et ceci nous paraît comme étant le plus important !

 

 

Mettez cette page en favori pour pouvoir y revenir rapidement.

Si toute fois vous préférez Géoportail (moins sophistiqué),  voici comment utiliser l'outil proposé par le site du gouvernement afin de faire le calcul permettant de voir jusqu'où vous pourrez vous déplacer en déconfinement.

Visualisez cette limite en...

jeu de paume 600Notre but de promenade est de l'autre côté de l'entrée du Jardin des Tuileries. 

 

Aujourd'hui :  Le Jeu de Paume

C'est un lieu d'exposition d'art contemporain consacré à l'image et à la photographie d'une superficie de 1 200 m2 situé dans le jardin des Tuileries, à l’extrémité occidentale de la terrasse des Feuillants, place de la Concorde, à Paris.

Le bâtiment est construit à l'angle nord-ouest du jardin en 1861 sous le règne de Napoléon III, afin d'abriter des courts de jeu de paume (ancêtre du tennis), tout en reprenant le plan de l'Orangerie (situé à l'angle sud-ouest), devenant ainsi son pendant.

À partir de 1909, le bâtiment est consacré à des expositions d'art, en relation avec le Louvre et le musée de l'Orangerie (« Cent portraits de femmes des écoles anglaise et française du XVIIIe siècle » en 1909, Carpeaux en 1912, etc.).Il n'a donc rien à voir avec le serment du Jeu de Paume qui eu lieu à Versailles le 20 juin 1789 !

À la fin du XIXe siècle, le musée du Luxembourg s'ouvre aux écoles étrangères et cette section devient finalement assez importante pour constituer un musée indépendant au Jeu de Paume en 1922.

À partir de cette date et jusqu'à son transfert au Musée national d'art moderne du Palais de Tokyo en 1947, le musée du Jeu de Paume présente les collections des écoles étrangères contemporaines, complétées par une trentaine d'expositions consacrées à l'art moderne d'un pays, sous le patronage de celui-ci, ou à un artiste, même si elles témoignent du renouveau de la figuration avant de s'ouvrir progressivement aux tendances plus contemporaines et si quelques expositions d'art ancien perdurent, comme « Rubens et son temps » ou « Marie-Antoinette » en 1936 et 1937.

En mai-juillet 1923, est ainsi présentée l' « Exposition de l'art belge ancien et moderne », puis des expositions monographiques : de l'espagnol José Maria Sert en juin-juillet 1926 au chinois Tchang Shan Tse en mars 1939. Lors de l’Exposition internationale de 1937 le musée privilégie l'avant-garde internationale contemporaine en présentant l'exposition « Origines et développement de l'art international indépendant », du 30 juillet au 31 octobre 1937, organisée par un comité comprenant Jean Cassou, Matisse, Braque, Picasso ou Léger.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les collections du musée furent mises à l'abri au château de Chambord le 1er septembre 1939.

Le bâtiment évacué est alors réquisitionné et les œuvres confisquées d'artistes juifs et d'autres œuvres volées par les nazis y sont stockées ou y transitent avant de partir pour l'Allemagne. Sous l'Occupation, Hermann Goering s'y rend fréquemment pour faire son marché et l'ensemble des équipes de l'Einsatzstab Reichsleiter Rosenberg y travaille jusqu'à la libération de Paris, en 1944.

Le travail phénoménal d'inventaire de Rose Valland, simple attachée de conservation sera transmis au directeur des Musées nationaux Jacques Jaujard (1895-1967), et permettra dès la Libération de lancer une gigantesque recherche des œuvres d'art spoliées par les nazis à travers le monde.

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quadrille des abeillesOn ne peut traverser le Jardin des Tuileries sans se rappeler du faste de l'ancien Palais ou se déroulait des fêtes donné par les monarques comme

 

Le quadrille des abeilles - Bal costumé aux Tuileries, le 9 février 1863.

Héritier de l'ancienne contredanse française du XVIIIe siècle, le quadrille est une danse de bal et de salon en vogue du début du XIXe siècle à la Première Guerre mondiale.

Dans les bals publics, le quadrille français allait connaître une transformation radicale. Les figures, simplifiées, n’en vinrent bientôt plus qu’à aligner des suites d’avant-deux et de traversés durant lesquels danseurs et danseuses improvisaient des pas débridés. On désigna bientôt cet avatar du quadrille sous les noms de chahut ou cancan. Né dans les bals étudiants du quartier latin, à la fin de la Restauration, le cancan se répandit bientôt dans tous les bals publics parisiens ; sous le Second Empire, il était devenu une attraction pour les visiteurs étrangers.

Reconstitution

Après plus d'un an de travail et de recherche, a été interprété le célèbre "Quadrille des Abeilles", dansé uniquement à la galerie "Palais des Maréchaux" Tuileries le 9 février 1863 pour Leurs Majestés Impériales. 

Ce quadrille chorégraphié par Louis Alexandre Mérante ( - .de l'Opéra de Paris et mis en musique par Fromental Halévy (27 mai 1799 - 17 mars 1862) a été dansé par les douze jeunes filles les plus nobles de la Cour et par les quatre meilleurs danseurs de l'opéra.

Pour parvenir à ce résultat exceptionnel, Carnet de Bals a dû investir, recréer des costumes, des ruches, des accessoires, former des danseurs, organiser des répétitions ...

Que soit remercié Jean-Guillaume Bart pour son travail de recherche et de reconstruction de ce légendaire quadrille jusqu'alors perdu. Sans lui,  la musique utilisée n'aurait pu être identifié et produite une si belle reconstruction chorégraphique.

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Mise au point d'une internaute,  Elise Beauvin,  à la lecture de cet article :
*Je tenais a vous informez que Jean-Guillaume a seulement créer un quadrille ce n'est pas le vrai. Le quadrille était perdu jusqu’à l'année dernière puisque il n'y avait aucune trace mais lors d'une vente au enchère d'un petit carnet de note une partie du quadrille et la musique ont été retrouver. Le carnet de note est en étude pour remonter le ballet des abeilles ( car ce n'était pas vraiment un quadrille ) 
 
On parlait ainsi de cette événement parisien à l'époque :
 

Les journaux de Paris ont beaucoup parlé d’un bal donné dernièrement aux Tuileries pour lequel les dames de la cour avaient imaginé un ballet dansé par douze charmantes jeunes femmes, costumées en abeilles.

Quatre grandes ruches ont été apportées dans la salle des maréchaux par des jardiniers, et à un signal de l’orchestre,on a vu sortir de chacune d’elles trois jolies abeilles ailées, tenant à la main une guirlandes de violettes et formant ensemble des figures gracieuses. En souvenir de ce quadrille d’un nouveau genre, M. Hamet, professeur...

rl 21 05 2020Cliquez sur l'image pour lire l'article du Républicain Lorrain du 21 mai 2020Dans le Républicain Lorrain de ce jeudi de l'Ascencion, Fernand Lormant battu le 15 mars dernier fait le bilan de cette période exceptionnelle de confinement qui clôt 4 mandats à la tête de la ville de Dieuze.

Vous pouvez lire l'article de votre quotidien en cliquant sur l'image ci-contre.

Dans cet article le premier vice-président du Conseil départemental de Moselle évoque son futur politique, mais révèle aussi qu'un document de 16 pages a été rédigé par son équipe, destiné à la population et à la nouvelle équipe ,  afin que ses membres possèdent toute l’information nécessaire des dossiers.

Vous pouvez feuilleter ce document de 16 pages en cliquant sur l'image ci-dessous.

Dernier Dieuze InfosCliquez sur l'image pour feuilleter le Dernier Dieuze Infos

 

 

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Orangerie exteriorDe la Place de la Concorde, face au Jardin des Tuileries, deux bâtiments s'offrent à nous :. 

 

Aujourd'hui :  Le Musée national de l’Orangerie

C'est un musée de peintures impressionnistes et postimpressionnistes situé dans le Jardin des Tuileries, à l’extrémité occidentale de la Terrasse du bord de l'eau, Place de la Concorde, à Paris.

Outre le célèbre cycle des Nymphéas, huit grandes peintures de Claude Monet qui recouvrent les murs de deux grandes salles ovales, le musée présente des œuvres de Pierre-Auguste Renoir, Alfred Sisley, Claude Monet, Paul Cézanne, Henri Matisse, Pablo Picasso, Amedeo Modigliani, Le Douanier Rousseau, André Derain, Chaïm Soutine, Marie Laurencin, Maurice Utrillo, Paul Gauguin et Kees van Dongen.

Sur la terrasse des Tuileries, à l'emplacement de l'Orangerie, se tient au XVIIe siècle le restaurant Renard, du nom d'un ancien valet de chambre du commandeur Jacques de Souvré qui a monté une affaire où se trouvent de petites pièces discrètes ornées de tapisseries et de tableaux où la noblesse de ce temps aime se retrouver. Sous la Fronde, de tumultueux incidents s'y produisent.

Construction

Construit en 1852, sur les plans de l’architecte Firmin Bourgeois, pour y abriter les orangers du jardin des Tuileries, le bâtiment actuel est achevé par son successeur, Louis Visconti.

Le bâtiment sert alors à accueillir les orangers du jardin des Tuileries pendant l'hiver ; ils sont jusqu'alors abrités dans la galerie basse du palais du Louvre en cette saison. Conçue comme une serre, sa façade sud, donnant sur le fleuve, est vitrée afin de recevoir la lumière du soleil, tandis que la façade nord est aveugle, afin de protéger les orangers des vents venus du nord. Si les plans du bâtiment sont de Firmin Bourgeois, le décor extérieur des deux portes, situées respectivement à l'est et l'ouest du bâtiment, est l'œuvre de l'architecte Visconti. Il est constitué de deux colonnes surmontées d'un fronton triangulaire sculpté par Charles-Gallois Poignant figurant des cornes d'abondance, pantes et maïs rappelant la destination première du lieu. C'est dans cette orangerie que pose, en 1865, le Prince impérial pour le sculpteur Carpeaux qui y installe son atelier le temps de réaliser le portrait du jeune fils de Napoléon III, accompagné de son chien Néron.

Premières expositions

De 1890 à 1912, se tient dans l'orangerie l'exposition annuelle des peintres et sculpteurs de chasse et de vénerie, présidée par le peintre Jules-Bertrand Gélibert, dans le cadre de l'exposition canine organisée par la Société centrale canine.

Il est actuellement dirigé par Cécile Debray.

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Le réaménagement

Entre 2000 et 2006, des travaux, d'un montant de 30 millions d'euros, ont lieu sous la direction de l'architecte Olivier Brochet et du directeur du musée, Pierre Georgel. Ils consistent en la suppression du plancher qui recouvrait les Nymphéas depuis 1965 afin de leur redonner leur éclairage naturel original voulu par Monet. Pour compenser la perte de ces espaces d'exposition, sont également créés 1 000 m2 en sous-sol de la terrasse des...

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