Corncrake2« Vallée de la Seille, secteur amont et Petite Seille »

Le Parc naturel régional de Lorraine organise des soirées de prospection à la recherche du Râle des genêts dans la Vallée de la Seille.

Ces prospections se dérouleront aux dates suivantes :

- mercredi 20 mai 2020
- vendredi 29 mai 2020
- vendredi   5 juin 2020
- vendredi 12 juin 2020
- vendredi 19 juin 2020
- vendredi 26 juin 2020

sur l'ensemble du site Natura 2000, entre 23h00 et 3h00.

Contact:
Nelly WEBER
Chargée de mission Natura 2000 - Parc naturel régional de Lorraine

Mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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Place de la concorde a paris 600Nous quittons le jardin des Champs-Élysées et partons pour une balade de... 250m jusqu'à notre nouvelle destination :

 

Aujourd'hui :  La Place de la Concorde

La place de la Concorde, avec 8,64 hectares, est la plus grande place de Paris.Au temps de la Révolution française, la place est le lieu de passage obligé pour des convois, qu'ils soient improvisés ou ritualisés par le protocole des fêtes. Elle sera l'un des grands lieux de rassemblement de la période révolutionnaire, surtout lorsque la guillotine y sera installée. C'est aussi là que Louis XVI et Marie-Antoinette ont été exécutés.

Louis-Antoine Monnier, guide touristique de la société www.unamiaparis.fr, nous fait la visite guidée de la place de la Concorde. histoire, anecdotes, architecture, Louis-Antoine nous dit tout sur la place où Louis XVI a perdu la tête. Cette partie est axée sur l'histoire de la place de la Concorde.

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L'obélisque égyptien de Louxor, vieux de 3 300 ans (XIIIe siècle av. J.-C.), fut transporté en France en 1836, offert par l'Égypte en reconnaissance du rôle du Français Champollion qui a été le premier à traduire les hiéroglyphes. Le roi Louis-Philippe le fit placer au centre de la place lors de son aménagement par l'architecte Hittorff. Haut de 22,86 mètres, le monolithe, en granite rose de Syène, pèse 227 tonnes. Il est érigé sur un socle de 9 mètres et est coiffé d'un pyramidion doré de plus de trois mètres et demi. Les hiéroglyphes qui le recouvrent célèbrent la gloire du pharaon Ramsès II.

Le sommet de cet obélisque est surmonté d'un pyramidion de plus de 3,50 m, ajouté en juillet 1998 à l'initiative de l'historienne Christiane Desroches Noblecourt, aussi pointu qu'étincelant, fait de bronze et de feuilles d'or. Il est censé remplacer un précédent ornement sommital, emporté lors d'invasions en Égypte au VIe siècle.

L'obélisque se situe sur la ligne de l'axe historique de Paris qui va de l'Arc de triomphe du Carrousel à l'arche de la Défense en passant par le jardin des Tuileries et l'avenue des Champs-Élysées.

L’obélisque sert aussi de gnomon à un cadran solaire dont les chiffres romains et les lignes sont tracés au sol par des incrustations de métal dans le revêtement du centre de la place

C'est Méhémet Ali, vice-roi d'Égypte, en signe de bonne entente qui, à l'instigation du baron Taylor puis de Jean-François Champollion, offre à Charles X et a la France au début de 1830 les deux obélisques érigés devant le temple de Louxor, mais seul celui de droite (en regardant le temple) est abattu et transporté vers la France.

En échange des obélisques, Louis-Philippe Ier offre en 1845 une horloge en cuivre qui orne aujourd'hui la citadelle du Caire, mais qui, pour l'anecdote, ne fonctionna jamais, du moins aux dires des Cairotes, ayant été probablement endommagée lors de la livraison. Le deuxième obélisque a été officiellement...

Champs élysées 2012Nul besoin de s'y rendre en limousine, à 300m par les jardins des Champs Élysées, nous arrivons à notre destination. 

 

Aujourd'hui :  Le Studio Gabriel

Le pavillon qui accueille aujourd'hui le Studio Gabriel a été construit en 1841 pour accueillir le Café Morel. Il est racheté en 1860 et transformé en café-théâtre par Arsène Goubert qui lui donne le nom d'Alcazar d'été. Le café théâtre ferme en 1914.

Dans les années 1970, le traiteur parisien Potel & Chabot acquiert et restaure le pavillon alors en mauvais état pour en faire un lieu de réception. Une partie du pavillon est aménagé en salle de spectacle afin d'accueillir de septembre 1977 à juillet 1978 le cabaret « Le Jardin des Champs Élysées ».

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Après la fermeture du cabaret, un premier studio est installé par David Niles et Jacques Martin qui préférera cependant tourner ses émissions au Théâtre de l'Empire.

La salle est un temps exploitée par RTL puis sert de salle de concert pour la société de production KCP.

Entre 1979 et 1981, David Niles installe une discothèque dans le studio qu'il a créé. Le lieu est donc utilisé comme studio le jour et comme dancing la nuit.

Fondation du studio « Potel & Chabot » et les années Champs Élysées

Le 16 janvier 1982, l'émission Champs-Élysées est lancée sur Antenne 2 avec comme animateur Michel Drucker. L'émission est tournée en direct à l'Espace Pierre Cardin, bâtiment voisin du pavillon de Potel & Chabot.

Générique de début de "Champs Elysées" première émission. Arrivée en limousine des invités à l'espace Cardin : O MUTTI, M SARDOU, F PERIER, M GALABRU, F FLEURY, P TIMSIT, A DJELLI, A SOUCHON (en trottinette), M BONNET et J BRIERE. Plateau Michel DRUCKER.Musique du générique. Michel DRUCKER présente le concept de cette nouvelle émission.

Image d'archive INA

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Michel Drucker repère le studio de David Niles et souhaite y tourner l'émission. Il en fait part à Antenne 2 qui loue le studio auprès de Potel & Chabot. La Société française de production (SFP) se charge des tournages. La chaîne y fait d'abord tourner Le Petit Théâtre de Bouvard. À la fin du contrat qui la lie à l'Espace Pierre Cardin, l'émission de Drucker s'installe dans le studio.

En 1987, le contrat entre SFP et Antenne 2 prend fin. C'est désormais DMD, la société de Michel Drucker qui se charge des tournages au Studio Gabriel. Durant l'été 1988, une régie fixe est installée pour remplacer les cars de régie mobile de SFP. 

En 1990, l'animateur est remercié par Antenne 2 qui le juge dépassé. Il reste cependant le responsable d'exploitation du studio grâce au contrat entre sa société et la chaîne.

Les années 1990

Dans les années 1990, le studio accueille plusieurs programmes emblématiques du paysage audiovisuel français : Les Nuls y enregistrent leurs...

sade theatre of madmenOn traverse juste l'allée du jardin pour assister à un spectacle commandé par un grand coutourier et mécène, Pierre Cardin, présenté en 2008 dans son espace, du même nom, avenue Gabriel :

 

Sade ou le théâtre des fous - Théâtre du Corps de Marie Claude Pietragalla et Julien Derouault

 

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Née d’un père corse et d’une mère bordelaise, Marie-Claude Georgette Yvonne Pietragalla commence la danse sur les conseils de sa mère qui souhaite canaliser son énergie1. À neuf ans, elle tente le concours d’entrée de l’école de danse du Ballet de l'Opéra national de Paris, qu’elle réussit. Claude Bessy qui dirigeait alors l'école de danse, la décrira comme une élève très déterminée avec un fort caractère.

À seize ans, elle intègre le corps de ballet de l'opéra, devient sujet en 1982, puis première danseuse en 1988, à 25 ans, sous la direction de Rudolf Noureev. Marie-Claude Pietragalla est nommée étoile le 22 décembre 1990, par Patrick Dupond, à l'issue de la représentation de Don Quichotte où elle interprète le rôle de Kitri.

Durant cette période, la danseuse va interpréter tous les grands rôles du répertoire comme Odette/Odile dans Le Lac des cygnes, Giselle, La Sylphide, Carmen, La Bayadère et danser avec les plus grands partenaires comme Nicolas Le Riche, Patrick Dupond ou Manuel Legris. Mais en parallèle Pietra, comme elle aime se faire appeler, s’illustre en danse contemporaine en interprétant les ballets des plus grands chorégraphes comme Maurice Béjart (Le Sacre du printemps, Boléro, Arépo) , Roland Petit (Carmen, Notre-Dame de Paris, Le Jeune Homme et la Mort), Mats Ek (Giselle), Serge Lifar, George Balanchine, Merce Cunningham ou encore Jiří Kylián.

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Chorégraphe

Marie-Claude Pietragalla entretient un rapport privilégié avec la chorégraphe Carolyn Carlson, qui crée pour elle les ballets Signes en 1997 et Don't Look Back en 2000. Interprète d'exception à la présence scénique et au charisme impressionnant, elle devient la première danseuse à se produire seule sur la scène de l’Olympia.

En 1998, elle quitte prématurément l'Opéra de Paris à 35 ans, fait rarissime, pour prendre la direction du Ballet national de Marseille où elle signe neuf chorégraphies ; elle y reste cinq ans jusqu'à un conflit avec les danseurs de la compagnie qui obtiennent sa démission.

Dans le même temps Pietragalla approfondit son travail chorégraphique, déjà débuté lorsqu'elle était étoile à l'Opéra de Paris où elle avait créé Triangle infernal et Corsica (1996).

À partir de 2004, avec le danseur et chorégraphe Julien Derouault, son compagnon, elle fonde sa propre compagnie, Le Théâtre du Corps Pietragalla–Derouault ; leurs créations sont faites en collaboration depuis cette date.

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La compagnie est un lieu de rencontre entre danse classique, contemporaine et influences hip-hop comme en témoigne, par exemple, le ballet Marco Polo (2008).

Les ballets de Marie-Claude Pietragalla sont...

Theatre Marigny 1Au même endroit, à l'angle de l'avenue des Champs-Élysées et de l'avenue de Marigny, dans le 8e arrondissement de Paris....
 

Aujourd'hui :  Le théâtre Marigny

Il est situé carré Marigny, En 1835, un physicien-prestidigitateur propose ses attractions au carré Marigny. Après la révolution de 1848, une petite salle, le Château d'enfer, dirigée par Lacaze et régie par un certain Hippolyte Léon Denizard Rivail, y présente des spectacles de « physique amusante, fantasmagorie et curiosité ».

Cette modeste attraction devant fermer ses portes, Jacques Offenbach, jugeant l'emplacement idéal dans la perspective de l'exposition universelle de 1855, obtient d'en disposer, y fait quelques travaux, et ouvre le 5 juillet 1855 le théâtre des Bouffes-Parisiens, bientôt rebaptisé Bouffes d'été, la troupe d'Offenbach trouvant refuge durant l'hiver aux Bouffes d'hiver, rue Monsigny (cette salle conservera d'ailleurs le nom de théâtre des Bouffes-Parisiens jusqu'à aujourd'hui).

En 1859, à l'expiration du bail d'Offenbach, la salle devient le théâtre Deburau, du nom de son directeur Charles Deburau, fils du célèbre mime Jean-Gaspard Deburau. Il est dirigé après lui par Céleste Mogador avant de devenir en 1865 les Folies-Marigny, sous la direction du ménage Montrouge.

Le théâtre est démoli en 1881 pour céder la place en 1883 à un panorama construit par Charles Garnier, l'architecte de l'Opéra de Paris. En 1885, on peut y admirer les dioramas Paris à travers les âges en huit tableaux de Theodor Josef Hubert Hoffbauer (1839-1922) et Jérusalem d'Olivier Pichat1.

Le Panorama est transformé en théâtre en rotonde en 1894 par l'architecte Édouard Niermans. Dirigé par Abel Deval à partir de 1910, il enchaîne les productions à succès. La salle est encore agrandie et modernisée en 1925 par son nouveau directeur, Léon Volterra, déjà à la tête du théâtre de Paris et de l'Eden.

En 1946, il cède la gestion de la salle à son épouse, Simone Volterra, qui fait appel à des anciens membres de la Comédie-Française pour constituer une troupe « maison » autour de Jean-Louis Barrault : la compagnie Renaud-Barrault est née. En 1954, Jean-Louis Barrault aménage dans le théâtre une seconde petite salle, le Petit-Marigny.

De 1965 à 1978, la direction est assurée par la comédienne Elvire Popesco, assistée de Hubert de Malet et Robert Manuel. Jean Bodson leur succède et entreprend d'importants travaux de rénovation, ainsi que la transformation totale de la seconde salle en petit théâtre de 311 places, la salle Gabriel, rebaptisée quelques années plus tard salle Popesco. À sa mort en 1980, il est remplacé par Christiane Porquerel, assistée de Jean-Jacques Bricaire.

La concession du théâtre (les murs appartenant à la Ville de Paris) est accordée en 2000 à la holding Artémis de François Pinault, qui en confie la direction à Robert Hossein, puis à Pierre Lescure à partir de 2008. La fréquentation cumulée des deux salles en 2007 était de 170 000 spectateurs.

En 2010, le théâtre Marigny fait partie des cinquante théâtres privés parisiens qui se regroupent au sein de l’Association pour le soutien du théâtre privé (ASTP) et le Syndicat national...

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