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Publication : 31 juillet 2019

Comme on peut le lire dans l'article qui est consacré à cet événement dans l'édition du 31 juillet 2019 du Républicain Lorrain, le Département avait décidé d'en faire  un grand rendez-vous :

...un grand rendez-vous organisé par le Conseil départemental... Une poignée de personnes invitées par Patrick Weiten, président du Département

La vidéo du quotidien régional ci-dessous que vous pouvez retrouver sur l'édition numérique du Républicain Lorrain en cliquant ici

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Publication : 30 juillet 2019

Communication officielle du département sur Facebook a lire en cliquant sur l'image ci-contre

L'article sur Facebook en cliquant ici

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Publication : 31 juillet 2019

Vous avez pu lire avec gourmandise dans le Républicain Lorrain d'hier (30/7/2019) que Dieuze accueillait à la colonie des officiers le sosie de Vincent Van Gogh.

Dans cet article on apprenait que l'artiste qui a reçu tous les honneurs de la ville de Dieuze, en résidence sur le nouvel espace artistique de la colonie des officiers de Dieuze, chapeauté par Remus Botarro, s'appelait Walter Duforest.

L'information de la plus haute importance puisque rapportée par LE Républicain Lorrain... était fausse !

Cet artiste comédien et peintre américain en tournée européenne de 79 jours (voir ici), ne s'appelle pas Duforest comme il est écrit par 3 fois dans ce court article, mais  Walter Michael De Forest

Voici comment il se présente dans une parution sur Arles en mars 2019 :

Je suis comme lui issue dune famille de 6 enfants. Je suis né le 30 juillet 1969, c'est jour pour jour, 79 ans après l'enterrement de Vincent à Auvers-sur-Oise. Et quand je suis né, j'ai été opéré : j'avais un trou dans coeur, Van Gogh est mort d'une balle qui a traversé son abdomen et s'est arrêté près du coeur. Mon nom est Walter Michael De Forest soit 21 caractères en 4 mots comme Vincent Willhem Van Gogh. Bien sûr, je lui ressemble et comme lui, je peins, mais il y a un autre point commun c'est que comme lui, je suis obstiné dans ce que je fais et quoi que pensent les autres, je ne renonce jamais.

En savoir plus sur le personnage dans cette vidéo sous-titrée :

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Publication : 29 juillet 2019

Le jour du dépassement, ou jour du dépassement de la Terre (en anglais : Earth Overshoot Day ou EOD) correspond à la date de l’année, calculée par l'ONG américaine Global Footprint Network, à partir de laquelle l’humanité est supposée avoir consommé l’ensemble des ressources que la planète est capable de régénérer en un an. Passée cette date, l’humanité puiserait donc de manière irréversible dans les réserves non renouvelables (à échelle de temps humaine) de la Terre.

Le calcul est dérivé de celui de l’empreinte écologique globale, concept développé par Mathis Wackernagel, président de Global Footprint Network.

En 2019, l'ONG a estimé cette date au 29 juillet.

Cliquez sur l'image pour voir la vidéo.

Les facteurs qui contribuent à l'effondrement de la civilisation industrielle ont la particularité d'être interdépendants et globaux, d'où un risque de perturbations systémiques mondialisées et en cascade. Ces facteurs sont étudiés dans les champs environnementaux, économiques, sociaux et culturels, en se basant sur :

• La disponibilité des ressources : par exemple, l'épuisement des ressources énergétiques ou minérales, comme le pic pétrolier, le pic de production de phosphate ou d'autres surexploitations de matières premières critiques.
• Le risque d'une transformation radicale de l'écosystème mondial dans l'Anthropocène. Ainsi, Anthony D. Barnosky, spécialiste américain de biologie évolutive de l'université de Berkeley analyse, dans la revue Nature, la possibilité du changement brusque et irréversible de l'écosystème mondial. Johan Rockström, professeur suédois en gestion des ressources naturelles au Centre de Résilience de Stockholm établit en préambule de son article sur les limites planétaires que « les pressions anthropiques sur le système terrestre ont atteint une échelle où le changement environnemental mondial brusque ne peut plus être exclu. » Will Steffen, chimiste américain de l'université nationale australienne, conclut, dans la revue Sciences, que « La transgression des limites planétaires crée […] le risque substantiel de déstabiliser l'état Holocène du système Terre. »; la destruction des écosystèmes et de la biodiversité ayant elle-même plusieurs origines : besoin d'espace pour l'industrie agroalimentaire de masse, l'élevage intensif, les mines et l'industrie qui induisent des déforestation massive, surpêche et pollution marine, déclin des pollinisateurs, fragmentation et dégradation des habitats naturels, etc. Ceci conduit – en un temps très rapide, mais difficile à évaluer (entre 5 et 75 ans) – à un effondrement global dont la forme exacte reste à déterminer.
• La dynamique propre du système : elle inclut l'effondrement financier par effondrement du système économique dominant, à échelle planétaire, à cause d'un dépassement des limites d'équilibre du système, par exemple via un enchaînement de phénomènes de crise de confiance, récession, inflation, déflation, dépression économique, stagflation, effondrement boursier, etc. Selon Thomas Jeitschko et Curtis Taylor, dans un système où l'information circule vite, des cascades de comportements individuels peuvent aussi avoir une importance.
• La croissance démographique exponentielle entraînant la surpopulation. Cette surpopulation était redoutée par Thomas Malthus, qui la théorisa notamment en prônant la restriction démographique.
• Le dérèglement climatique et ses nombreuses conséquences : la fonte des calottes glaciaires, la disparition accélérée du permafrost qui, en libérant de très grandes...

Lire la suite... 29 juillet 2019 : c'était comment avant ?