Sortant du MAM Musée d'Art Moderne de Paris, nous ne pouvions pas nous retourner immédiatement vers un ballet classique aussi nous allons troquer nos chaussons de danse pour des bottes de chantier et découvrir...

Paso doble de Josef Nadj et Miquel Barcelo

Quand un chorégraphe se passionne pour le travail d'un peintre, il arrive que naisse une oeuvre de cette rencontre... Le chorégraphe/danseur Josef Nadj veut "pénétrer" dans une oeuvre en argile de Miquel Barcelo... Un défi pour les deux artistes, un geste artistique unique...

Existe-t-il une terre commune, un espace où créer ensemble ? C'est ce que Josef Nadj, chorégraphe, et Miquel Barceló, peintre, ont expérimenté le temps d'une performance originale, 'Paso Doble'. Pour se retrouver, les deux artistes ont imaginé un espace précis. Un mur et un sol d'argile fraîche et humide.

'Paso Doble' se présente comme une suite de tableaux en constante transformation. Quarante minutes durant, les deux protagonistes de cet exercice de sculpture en live décorent la matière molle, la triturent, s'y fondent enfin. Cet étonnant ballet tient à la fois de l'art, du rituel, de la transe païenne ou sacrale, de la gymnastique, au choix.

Le chorégraphe Josef Nadj et le peintre Miquel Barcelo créent...

musee d art moderneLe Palais de Tokyo, dont le nom originel est « Palais des musées d'Art moderne », désigne un bâtiment consacré à l'art moderne et contemporain. Il est situé au 11, avenue du Président-Wilson dans le 16e arrondissement de Paris.

 

Aujourd'hui : Le Musée d'Art Moderne de Paris

Palais de Tokyo Musee d Art Moderne de la Ville de ParisComposé de deux ailes, le Palais abrite dans l'aile ouest un centre d'art contemporain, le Palais de Tokyo, tandis que l'aile est, propriété de la ville de Paris, abrite le musée d'Art moderne de Paris. L'enveloppe externe du bâtiment est totalement revêtue de marbre.

Le palais de Tokyo est l'un des trois édifices permanents de l'exposition internationale de 1937 et destiné, selon le projet de 1934, à remplacer le musée du Luxembourg. Il a servi initialement à présenter une rétrospective de l'art français depuis le Moyen Âge mais sa véritable inauguration date de 1947, lors du retour des collections délocalisées pendant la Seconde Guerre mondiale.

Le bâtiment en question est dénommé « Palais de Tokyo » du nom du quai de Tokio (l'actuelle avenue de New-York) sur lequel donne sa façade sud, quai en bordure de Seine. Un arrêté municipal du 14 mai 1997 a attribué le nom de Place de Tokyo à une aire de stationnement située devant le Palais, du côté de l'avenue du Président-Wilson.

La surface d'exposition est l'une des plus grandes pour l'art contemporain sur la scène internationale.

Le 6 juillet 1961, après six ans de travaux, le musée municipal ouvre finalement ses portes avec le noyau d'œuvres provenant des collections d'art moderne du Petit Palais, auquel s’ajoutent des acquisitions de la commission d’achat des beaux-arts et les enrichissements réalisés grâce à la générosité de collectionneurs privés, comme Ambroise Vollard, le comte Emanuele Sarmiento, Mathilde Amos et la collection du docteur Girardin.

L'exposition de 1937 avait par ailleurs été l'occasion d'importantes acquisitions, parmi lesquelles : La Danse d'Henri Matisse, Nu dans le bain et Le Jardin de Pierre Bonnard, L'Équipe de Cardiff de Robert Delaunay, La Rivière d'André Derain, Les Disques de Fernand Léger, L'Escale d'André Lhote, L'Oiseau bleu de Jean Metzinger, quatre Portraits d'artistes d'Édouard Vuillard, des meubles de Pierre Chareau, André Arbus, Jacques-Émile Ruhlmann, sans oublier les décorations monumentales de Robert et Sonia Delaunay, Albert Gleizes et Jacques Villon.

En 1964, La Fée Électricité conçue par Raoul Dufy pour le pavillon de l’électricité et de la lumière lors de l’Exposition universelle de 1937 fut installée dans la grande salle d’honneur.

L'émission "d'Art d'Art" nous en dit plus sur ce tableau : 

Pensez à passer en mode plein écran et à activer le son

 

Le premier chantier après ouverture, débute en janvier 1971. Les salles du rez-de-chaussée haut furent aménagées en dégageant l’ossature du bâtiment des multiples cloisonnements internes existants. Le plan initial fut modifié ; on créa un plancher qui coupait l’ancien hall d’entrée, une mezzanine pour les bureaux et le centre de documentation, un auditorium relié aux nouvelles salles par une passerelle à deux niveaux, et un ascenseur pour desservir tous les niveaux du...

Réouverture du Marché hebdomadaire des producteurs jeudi 7 mai 2020 Place de la République de 9h à 12h :

Boucherie - Charcuterie - Poulets rotis - Fruits et légumes - Fromages - Bières - Plantes - Epices - Tisanes - Huiles essentielles - Pains - Viennoiseries - Miel - Quiches - Pâtés lorrains

Il accueillera le public dans le respect des gestes barrières : sens de circulation, distanciation, port du masque.

07 05 2020 chateau 600

 

 

...

Édouard Philippe doit annoncer ce jeudi 7 mai les détails du plan de déconfinement… qui a plutôt ressemblé à un plan de confinement assoupli ! Le Premier Ministre a tout de même annoncé mardi dernier que les déplacements seront de nouveau libres à partir du 11 mai, c’est-à-dire sans la fameuse attestation à remplir… mais dans un rayon de 100 km autour de son domicile. Les trajets de plus de 100 km resteront limités aux motifs familiaux impérieux et aux déplacements professionnels.

Le gouvernement souhaite ainsi dans un premier temps, au moins jusqu'au 2 juin, réduire les déplacements entre les régions afin de limiter la propagation du virus, surtout dans des coins encore très peu touchés par le Covid-19. Mais comment savoir jusqu'où on pourra s'aventurer l'esprit tranquille ?

Parmi les outils disponibles, il y a le site Oalley  .

Une fois sur la page de la carte, dans le cadre en haut à gauche, il faut cocher la case "Distance", mentionner l'adresse de départ et indiquer 100 km. Ici, on peut voir les distances par la route ou à pied.

Voici l'exemple d'une carte au départ de Juvelize :

Capture 246Cliquez sur l'image pour agrandir

Il vous reste quelques jours pour décortiquer ces zones et voir où vous pourrez prendre l'air, notamment pendant le pont de l'Ascension !

...
Georges Clemenceau photo H. ManuelNous allons traverser les jardins du Trocadéro pour nous rendre à la tanière du Tigre..

 

Aujourd'hui : Le musée Georges Clemenceau

Georges Clemenceau né le 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée) et mort le 24 novembre 1929 à Paris, est un homme d'État français, président du Conseil de 1906 à 1909 puis de 1917 à 1920.

Le château de l'Aubraie appartient à la famille Clemenceau depuis 1790. "C'est au sein de ces murs que Clemenceau a fait toute son éducation"

Pensez à passer en mode plein écran et à activer le son

 

Fils de médecin et médecin lui-même, il est maire du 18e arrondissement de Paris puis président du conseil municipal de Paris au début de la Troisième République. Il est député en 1871 et de 1876 à 1893, siégeant en tant que républicain radical. Il défend l'amnistie pour les communards et milite en faveur de la restitution de l'Alsace-Moselle.

Anticlérical, il prône la séparation des Églises et de l'État, et s'oppose à la colonisation, faisant tomber le gouvernement Jules Ferry sur cette question. Fondateur du journal La Justice, il travaille ensuite à L'Aurore et prend une part active dans la défense du capitaine Dreyfus. En 1902, il est élu sénateur dans le Var, mandat qu'il occupe jusqu'en 1920, bien qu'il ait précédemment critiqué l'institution du Sénat, tout comme la présidence de la République.

Nommé ministre de l'Intérieur en mars 1906, surnommé « le Tigre » et se désignant lui-même comme le « premier flic de France », il réprime durement les grèves — ce qui l'éloigne des socialistes — et met un terme à la querelle des inventaires. À la fin de l'année 1906, il devient président du Conseil, fonction qu'il occupe pendant près de trois ans et qu'il cumule avec celle de ministre de l'Intérieur. En 1913, il fonde le journal L'Homme libre, qu'il rebaptise L'Homme enchaîné après avoir essuyé la censure ; fervent opposant à l'Empire allemand, il se montre en effet critique envers l'action des gouvernements français en place lors de la Première Guerre mondiale.

En novembre 1917, il est de nouveau nommé président du Conseil et forme un gouvernement consacré à la poursuite de la guerre. Partisan farouche d'une victoire totale sur l'Empire allemand, il poursuit la guerre et se voit attribuer le surnom de « Père la Victoire » à l'issue du conflit. Il négocie ensuite à la Conférence de paix de Paris, où il affiche une forte hostilité envers l'Allemagne. Par la suite, en 1919, il fait promulguer la loi des huit heures et remporte les élections législatives à la tête du Bloc national, une coalition rassemblant la droite et le centre.

Pensez à passer en mode plein écran et à activer le son

 

En décembre 1919, alors que Raymond Poincaré ne se représente pas et qu’il envisageait de se retirer de la vie politique, Georges Clemenceau autorise ses partisans à soumettre sa candidature à l’élection présidentielle du mois suivant.

Mais ses nombreux ennemis, à gauche comme à...

Articles anciens archivés

Utilisez aussi le moteur de recherche interne au site (en haut à droite sous la météo)  pour retrouver un article