RL du 12 12 2017 600

Tout est dans le titre de cet article, comme nous vous le rapportions dans notre reportage photos de dimanche dernier.

Pour voir la page du Républicain Lorrain de ce jour, cliquez sur l'image.

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st nicolas 2017 1500Tradition respectée en cette froide journée de dimanche où la neige et le vent glacé avaient fait craindre le pire aux enfants du village.

Fort de renseignements reçus de source sûre concernant la sagesse des enfants de Juvelize, Saint-Nicolas leur a bien rendu visite, sans le Père Fouettard resté au chaud.
La magie a de nouveau opéré, devant l'évêque de Myre !

Bien que très impressionnés par le personnage, les enfants se sont révélés des chanteurs pleins de talent ou des conteurs passionnant en interprétant pour les uns la chanson du saint patron des écoliers et pour les autres sa légende, ce qui méritait bien quelques friandises.

Ci-dessous le reportage en photos del'évènement...

 

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12 2017Nous essayons de rassembler le maximum d'information auprès des associations, d'amis, de médias pour approvisionner notre agenda de manifestation touchant le territoire du Saulnois.

Depuis quelque temps vous avez pu découvrir dans le menu de droite une nouvelle rubrique :" PROPOSEZ-NOUS VOS MANIFESTATIONS ICI"

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Jean d'Ormesson expliquait qu'un écrivain ne doit pas mourir en même temps qu'une star...

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Jean dOrmesson italia

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Henri GregoireHenri Jean-Baptiste Grégoire, également appelé l’abbé Grégoire, né le 4 décembre 1750 à Vého (Trois-Évêchés, aujourd'hui dans le département de Meurthe-et-Moselle) et mort le 28 mai 1831 à Paris, est un prêtre catholique, évêque constitutionnel et homme politique français, l'une des principales figures emblématiques de la Révolution française.

L'abbé Grégoire se rallie au Tiers état et, à l'Assemblée Constituante, il réclame non seulement l'abolition totale des privilèges et de l'esclavage mais prône aussi le suffrage universel.

Fondateur du Conservatoire national des arts et métiers et du Bureau des longitudes, il participe à la création de l'Institut de France dont il devient membre.

Après son ordination et comme la majorité des jeunes prêtres à l'époque, Henri Grégoire devient vicaire de paroisse, d'abord à Château-Salins puis à Marimont-lès-Bénestroff. Ce n'est qu'en 1782 que l'abbé Cherrier, son ancien professeur à Emberménil, le désigne pour prendre la charge de ses deux paroisses d'Emberménil et de Vaucourt.

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