christian combaz 600Prenez 22 minutes de votre confinement pour écouter Christian Combaz, un écrivain et journaliste français qui raconte merveilleusement à son ami Gustave l'histoire du Président qui a un problème avec l'image du père.

Dernier avatar de la question, l'apparition de la figure shakespearienne du Pr Raoult qui va le rendre fou s'il ne l'est déjà. Un texte intelligent et passionnant sur l'actualité du moment !

 

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Il est né le 21 septembre 1954 à Alger et ses œuvres sont traduites en espagnol, italien, portugais, russe et serbo-croate.
Issu d'une famille savoyarde de la classe moyenne, originaire des Contamines-Montjoie, né de mère corse en Algérie où son père était expatrié comme ingénieur pétrolier, Christian Combaz passe son enfance à Bordeaux dans un milieu catholique. Il suit sa scolarité au collège de frères marianistes décrit par François Mauriac dans son livre L'Enfant chargé de chaînes, Sainte-Marie Grand Lebrun.

Son père ayant été nommé à Paris, sa famille s'y installe en 1968. Il est inscrit chez les jésuites du Trocadéro au lycée Saint-Louis-de-Gonzague puis à Sainte-Croix de Neuilly où la fréquentation de la haute bourgeoisie parisienne nourrit ses lectures et ses ambitions comme en témoignent, à trente ans d'intervalle, Messieurs, paru en 1979, et...

Profitez de ces jours de confinement pour vous évader et visiter virtuellement des lieux fabuleux :

Aujourd'hui : la Cité de l'automobile à Mulhouse.

Ville martyre du CODIV 19 Mulhouse possède deux merveilleux musées que nous allon visiter virtuellement . Commençons par la Cité de l'automobile - Musée national - Collection Schlumpf.

Il abrite la plus importante collection de voitures du monde - plus de 500 véhicules - dont la célèbre collection Schlumpf des frères Schlumpf (560 automobiles de 98 marques différentes, pionnières de l'histoire de l'automobile, construites entre 1878 et 1918, dont 430 classées aux monuments historiques, le plus important ensemble d'automobiles antérieures à 1910 avec le musée Louwman de La Haye, une impressionnante collection de 14 Rolls Royce, et la plus importante collection Bugatti (plus de 120) du monde).

Le musée, qui est hébergé dans une ancienne usine de filature textile des frères Schlumpf datant de 1880, classée aux monuments historiques, s'étend sur plus de 20 000 m2.

L'initiative de ce musée / collection revient à deux importants industriels alsaciens du textile du XXe siècle, les frères Schlumpf, Hans (1904-1989) et Fritz (1906-1992). Passionnés par les automobiles de collection, ils investissent frénétiquement sans limite au moment de leur succès industriel, une partie considérable de leur fortune, dans les années 1960, pour acheter dans le plus grand secret, aux quatre coins du monde, le plus de voitures de collection possibles des débuts de l'automobile, qu'ils font entièrement restaurer dans leur propre atelier spécialisé, avec une prédilection pour les Bugatti alsaciennes de l'Usine Bugatti de Molsheim.

 
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Archives de l'INA, pensez à mettre le son

 

Terres de France se déplace en Alsace et Jacques Legros à rendez-vous à la Cité de l’Automobile de Mulhouse. Il avait déjà passé un beau moment en 2014 dans ce musée, mais cette fois on va s’intéresser aux hommes qui réparent en entretiennent ces fabuleuses voitures.

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Première diffusion : 4 janvier 2015 - Passez en mode plein écran

 

Retrouvez le 1er reportage de Terres de France en cliquant sur l'image ci-dessous

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A voir aussi un très beau diaporama de Hanz Jean sur les modèles exposés

 

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Passez en mode plein écran

 

Pour en savoir plus sur la Cité de l’Automobile de Mulhouse cliquez sur l'image ci-dessous 

britishmuseum

 

 

 

 

 

 

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 90525481 3187103324656454 4806895116709003264 nUn appel au secours de la Conseillère régionale le Dr Catherine VIERLING au ministre de la Santé et des Solidarités

 Le 23 mars 2020 à Olivier VERAN

L'Hôpital de Sarrebourg fait lace à une "hécatombe" sanitaire de son personnel infesté, qui ne peut plus assurer correctement les soins au chevet des malades du C0VID-19.

Les équipes hospitalières, très peu équipées, soignent dans la peur et l'angoisse, sous la menace de risques qu'elles n'ont pas choisis, avec la préoccupation constante de se protéger, pour protéger leurs patients et leurs familles. Elles soignent sans être testées, à l'aveugle, trop souvent sans quantité suffisante de masques, gants, casaques, charlottes ou de bottes. Malades, elles ne peuvent plus remplir leur poste, d'où une charge accrue sur le reste des collègues.

Monsieur le Ministre, dans nos hôpitaux, pour nos soignants, il est intenable de ne pas leur fournir le nécessaire pour les soigner, tout particulièrement les traitements à base de
Chloroquine et/ou de bleu de méthylène.

Il est tout aussi inadmissible que les patients soient renvoyés chez eux sans traitement alors que des alternatives thérapeutiques (chloroqulne, bleu de méthylène et antibiothérapie existent).

Nous avons tous deux prêté le Serment d'Hippocrate: Il n'est que temps que ces traitements notoirement sans effets secondaires soient accessibles à ceux qui en ont besoin.

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l'expression de mes salutations confraternelles,

Dr Catherine Vîerllng

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Profitez de ces jours de confinement pour vous évader et visiter virtuellement des lieux fabuleux :

Aujourd'hui : la National Gallery

La National Gallery (ou, en français, la Galerie nationale), fondée en 1824, est un musée situé à Londres et occupant le nord de Trafalgar Square depuis 1838.

Elle détient un patrimoine artistique composé principalement de peintures datant de 1250 à 1900, les œuvres plus récentes étant abritées à la Tate Modern. La collection de 2 300 peintures appartient à l'État britannique et l'accès à la collection principale est gratuit. Seules les expositions temporaires sont soumises à un prix d'entrée. La Gallery est un « organisme public non ministériel » rattaché au Département de la Culture, des Médias et du Sport britannique.

Les débuts de la National Gallery furent modestes, à la différence du Musée du Louvre à Paris ou du Musée du Prado à Madrid, car la collection ne fut pas fondée par la nationalisation d'œuvres d'art appartenant à la famille royale ou à des nobles, ni par l'acquisition de collections massives. L'essor de la Gallery débuta avec l'achat de seulement 38 peintures au banquier John Julius Angerstein en 1824. La Gallery fut ensuite conçue par ses premiers directeurs, en particulier Sir Charles Lock Eastlake, et ses collections ont été enrichies par des donataires privés pour les deux tiers des œuvres.

La National Gallery conserve quelques-uns des plus beaux tableaux du monde, et si l'on peut y admirer quelques œuvres nationales (William Turner, John Constable, Thomas Gainsborough), l'essentiel est constitué de tableaux étrangers qui recouvrent toute l'histoire de l'art du Moyen Âge à la fin du xixe siècle.

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Passez en mode plein écran et pensez à mettre le son

 

Comme dans la plupart des musées et galeries d’art du Royaume-Uni, l’entrée est gratuite, à l’exception de certaines expositions temporaires ; les dons sont encouragés.

 

british museum 600Visite virtuelle en cliquant sur l'image

 

Pour en savoir plus sur la National Gallery cliquez sur l'image ci-dessous 

britishmuseum

 

 

 

 

 

 

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Sacre du printemps

Les 100 ans du Sacre du Printemps retransmis en direct du théâtre des champs-élysées par arte.

Le Sacre du printemps

Musique : Igor Stravinsky / chorégraphie originale : Vaslav Nijinsky (1913) / chorégraphie, décors et costumes reconstitués par Millicent Hodson et Kenneth Archer (1987)

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Une nouvelle version de l’œuvre par la chorégraphe Sasha Waltz qui près de trente ans après Pina Bausch s’attaque enfin à ce monument.

 

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Les deux pièces sont interprétés par le ballet et l’orchestre du Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg, sous la direction musicale de Valery Gergiev.

 

Le 29 mai 1913, sur la scène du tout nouveau Théâtre des Champs-Élysées à Paris, les Ballets Russes créent une oeuvre phare du XXe siècle : Le Sacre du printemps, composée par Igor Stravinsky et chorégraphié par Nijinski. Cette œuvre novatrice déchaîna à l’époque la fureur des spectateurs, partagés entre les « pour » et les « contre », révolutionna la musique et la danse en les faisant véritablement entrer dans la modernité, et constitue aujourd’hui une référence majeure pour de nombreux chorégraphes.

ARTE célèbre le centenaire de cette création ainsi que celui du Théâtre des Champs-Élysées au cours d’une soirée de gala exceptionnelle retransmise en direct.

Au programme : le ballet original de Nijinski puis Le Sacre du printemps, sous-titré Tableaux de la Russie païenne en deux parties, est un ballet composé par Igor Stravinsky et chorégraphié originellement par Vaslav Nijinski pour les Ballets russes de Serge de Diaghilev.

L'œuvre a été créée par les Ballets russes de Diaghilev et dirigé par Pierre Monteux au théâtre des Champs-Élysées à Paris, le 29 mai 1913. Elle avait provoqué un scandale artistique comparable à la non moins célèbre bataille d'Hernani, au XIXe siècle (1830).

Dans le Sacre, Stravinsky approfondit les éléments déjà expérimentés avec ses deux premiers ballets, L'Oiseau de feu et Petrouchka, soit respectivement l'harmonie et le rythme. L'un repose en partie sur l'utilisation d'agrégats sonores, alors que l'autre est constitué d'un dynamisme sans précédent. On considère aujourd'hui la partition de Stravinsky comme une des œuvres les plus importantes du XXe siècle.

De nombreux chorégraphes tels que Maurice Béjart, Pina Bausch, Jean-Claude Gallotta, Angelin Preljocaj, Martha Graham, Uwe Scholz ou Emanuel Gat en donneront leurs propres versions.

Source : Wikipédia

 

 

 

 

 

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