hqdefault 600L'expression « Paris souterrain » (ou parfois les Dessous de Paris) évoque les éléments du sous-sol parisien : carrières, catacombes, sous-sols d'immeubles, égouts, galeries techniques et voies souterraines (métro et RER, tunnels routiers).

Quoi de plus normal, après notre visite de ce matin d'aller faire un tour dans les catacombes retrouver les restes du Cimetière des Saints-Innocents...

Catacombes.

À l'origine, simples galeries reliant les carrières entre elles, elles se sont individualisées pour servir d’entrepôts (civils et militaires) et surtout d’ossuaire à l’ancien cimetière des Innocents. Elles ont joué un rôle durant la libération de Paris en permettant au colonel Henri-Rol Tanguy de se cacher dans un abri qui y était relié. Aujourd'hui, une petite partie d'entre elles a été transformée en musée. Ouverte au public, elle est très visitée, notamment par des touristes étrangers. L'entrée officielle qui se fait place Denfert-Rochereau ne donne accès qu’à la partie "légale" du réseau, mais quelques-uns, les cataphiles, connaissent d’autres entrées beaucoup moins officielles. Pierre Tchernia les fait peupler de tout un petit peuple sous-parisien : les gaspards.

Égouts.

Les grands travaux haussmanniens concernant l'hydraulique et les réseaux normalisés d'amenée et d'évacuation d'eaux ont été dirigés par le comte Belgrand et ses équipes municipales du...

La Direction : SIRPA Marine vous offre une belle occupation à vous et à vos enfants de 12 ans et plus pendant ces journées de confinement.

En quelques heures de travaux manuels, la construction d’une frégate multi-missions n’aura plus de secrets pour vous !

La Marine nationale vous propose un modèle de maquette à imprimer pour réaliser à l’échelle 1/3000ème une frégate Aquitaine plus vraie que nature.

Alors sortez vos ciseaux, du scotch et de la colle et suivez le guide pour vous prendre le temps d’une après-midi pour un ingénieur naval !

Impression conseillée sur un papier cartonné.

Cliquez sur l'image pour télécharger les planches à découper :

Origami 1 600

Merci à Yong-man Kwon artiste peintre français - peintre de la marine - peintre de l’air - peintre de l’armée pour cette pépite.

Allez visiter sa galerie sur Facebook. À tomber !

https://www.facebook.com/kwon190466/

 

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Nous voici maintenant dans Paris pour faire le tour de lieux insolites...

Aujourd'hui : le Musée Grévin

Le musée Grévin est un musée de cire privé (propriété de Grévin & Cie, inauguré le 5 juin 1882, une filiale de la Compagnie des Alpes depuis sa privatisation) situé dans le 9e arrondissement de Paris, et dans lequel sont regroupées des reproductions en cire de personnages célèbres. Font aussi partie de la visite du musée le théâtre Grévin (salle de spectacle) et le Palais des Mirages (attraction utilisant le principe de l'illusion d'optique). La salle de la Coupole et la salle des Colonnes possèdent de très beaux décors de style baroque datant de 1882.

Il ne compte pas moins de deux cents personnages de cire allant d’Albert Einstein au Mahatma Gandhi en passant par Michael Jackson ou Alfred Hitchcock. De nombreuses scènes de l'Histoire de France y sont reconstituées, comme la captivité de Louis XVI au Temple ou Jeanne d'Arc sur le bûcher.

Régulièrement, de nouvelles personnalités font leur entrée au Musée Grévin.

Ce site est desservi par la station de métro Grands Boulevards (ligne 8 et 9 du métro).

Origines des masques de cire en France

Jusqu'au XVIIe siècle, il était commun après la mort d'une personnalité royale, d'exposer une représentation de son visage en cire. À partir de ce siècle, ce travail se développe et devient un art de Cour à part entière. Ainsi, le masque funéraire en cire du roi de France Louis XIV par Antoine Benoist est fameux. Celui-ci met même à la mode le « cabinet de cire », en créant une exposition présentant tout l'entourage direct de la reine Marie-Thérèse.
Les précédents parisiens et l'influence de Marie Tussaud

Un siècle plus tard, vers 1770, le Bernois Curtius est invité à Paris par le prince de Conti, qui l'autorise à présenter au Palais-Royal l'exposition : « la famille royale au Grand couvert à Versailles ». Il est aidé par une jeune fille qu'il considère comme sa nièce et qui n'est autre que Marie Tussaud. Pendant la Révolution française, cette dernière moule ainsi les visages morts de Marat, Robespierre et du couple royal.

Après la mort de son oncle et maître, elle déménage en 1795 à Londres, où elle établit en 1835 le célèbre musée de cire Madame Tussauds.

Au XIXe siècle, plusieurs musées de cire parisiens tenteront en vain de succéder durablement à Curtius et d'égaler le musée de Mme Tussaud. En 1865, le musée Hartkoff s'ouvre dans une salle du passage de l'Opéra. Il s'agissait d'un musée géologique, ethnologique, et anatomique dont les moulages avaient été réalisés par le professeur Schwartz de Stockholm1.
Ouvert moins d'un an plus tard sur le boulevard des Capucines, le Musée français, œuvre du modeleur-anatomiste Jules Talrich, présentait quant à lui plusieurs statues de cire de personnages issus aussi bien de la littérature et de la mythologie que de l'Histoire. Il ferma cependant prématurément ses portes avant la fin de l'année 1867.

 Source Wikipédia

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Danse Macabre 2 Koper Regional MuseumLa Danse macabre est un motif artistique populaire à la fois présent dans le folklore européen et élaboré à la fin du Moyen Âge. Elle est un élément, le plus achevé, de l'art macabre du Moyen Âge, du XIVe au XVIe siècle.

La première Danse macabre semble être réalisée à Paris, au Charnier des Saint-Innocents en 1424. Elle se nourrit des inquiétudes des temps de crise en y répondant par la force de l'imaginaire. Par cette sarabande qui mêle morts et vivants, la Danse macabre souligne la vanité des distinctions sociales, dont se moque le destin, fauchant le pape comme le pauvre prêtre, l'empereur comme le lansquenet. C'est une leçon morale adressée aux vivants afin de réfléchir à notre condition : elle console les plus pauvres et apprend aux plus grands que personne n'est au-dessus des lois.

Sa composition se fait de manière hiérarchique : elle fait d'abord entrer les « grands » (pape, empereur, roi, cardinal ou patriarche) puis descend l'échelle sociale en faisant entrer les « petits » (laboureur, enfant, cordelier, ermite). Les vivants sont donc des personnages représentant les différentes strates sociales et les morts sont squelettiques, dansent, font des cabrioles, se moquent et entraînent vers la mort les vivants, en s'affublant de leurs attributs (couronne, épée, instruments de musique).

Tout au long du XVe siècle et au début du XVIe, ce thème est peint sur les murs des églises, dans les cimetières d'Europe du Nord, sur les murs extérieurs des cloîtres, les charniers, les ossuaires. Au-dessus ou au-dessous de l'illustration sont peints des vers par lesquels la mort s'adresse à la victime, souvent sur un ton sarcastique et empreint de cynisme. Il est diffusé à travers l'Europe par les textes poétiques colportés par les troupes de théâtre de rues.

Cette forme d'expression est le résultat d'une prise de conscience et d'une réflexion sur la vie et la mort, dans une période où celle-ci est devenue plus présente et plus traumatisante. Les guerres — surtout la guerre de Cent Ans — les famines et la peste, que représentent souvent les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse, ont décimé les populations.

Le thème traverse les époques.

De nombreux peintres (Hans Holbein le Jeune), poètes (Baudelaire, Verlaine, Cazalis…), auteurs (Flaubert), musiciens (Liszt, Saint-Saëns, Benjamin Britten, Honegger, Hugo Distler), cinéastes (Fellini, Bergman…) s'emparent de celui-ci et permettent de redécouvrir ces œuvres tombées dans l'oubli.

Charles Camille Saint-Saëns, né à Paris le 9 octobre 1835 et mort à Alger le 16 décembre 1921, est un pianiste, organiste et compositeur français de l'époque post-romantique.

Il a écrit douze opéras, dont le plus connu est Samson et Dalila (1877), de nombreux oratorios, cinq symphonies, cinq concertos pour piano, trois pour violon et deux pour violoncelle, des compositions chorales, un Requiem, un Oratorio de Noël, de la musique de chambre et des pièces pittoresques, dont Le Carnaval des animaux (1886).

De plus, il occupe une place particulière dans l'histoire du septième art, puisqu'il est, en 1908, le tout premier compositeur de renom à composer une musique...

Cliquez sur l'image pour feuilleter les planches de dessins

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