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Aujourd'hui : Le Foyer de la Madeleine - Le Refettorio
Le Foyer de la Madeleine est un restaurant associatif ouvert en 1969, situé, comme son nom l’indique dans la célèbre église. Ici, on peut déguster son repas dans les sous-sols secrets de la Madeleine, des pièces méconnues par la plupart des parisiens. L’idée : déjeuner dans un endroit exceptionnel, à des prix bas et pour une bonne cause. Qui dit mieux ?
Ce restaurant unique est un espace de convivialité situés dans les cryptes de l’église de la Madeleine, qui a un rôle social : le Foyer sert aussi pour 1 euro symbolique, des repas à des personnes en difficulté.
Ici, ce sont de nombreuses bénévoles...
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La Mairie de Juvelize a déposé dans une enveloppe un masque supplémentaire par personne dans votre boîte à lettres. Ce masques ont été achetés auprès de la Sté TEXPRO de MORVTLLE les VIC.
Les habitants du village sont maintenantcorrectement protégés !
Ci-dessous la notice d'utilisation, la photocopie jointe au dépot des masques étant difficilement lisible.
Notice d’utilisation accompagnant la mise sur le marché de Masques « GRAND PUBLIC » catégorie 1 exclusivement réservés à des usages non sanitaires,
Suivant la note d’information interministérielle du 29 mars 2020 mise à jour le 26 avril 2020
- Fabricant : CONCEPT TRICOTS BONNEMAILLE - 209 AVENUE DE LAUTREC - 81100 CASTRES
- Référence MASK 001
- Domaine d’utilisation : Ce masque est destiné au milieu professionnel ou grand public et est exclusivement réservé à des usages non sanitaires. Il est destiné à prévenir les projections de gouttelettes vers un tiers. L’utilisation de ce masque s’inscrit dans la stricte application des mesures liées au confinement, des mesures d’organisation du travail ainsi que des gestes barrières. Ce masque individuel est destiné à être proposé aux professionnels amenés à rencontrer un grand nombre de personnes lors de leur activités (hôtesses de caisses, agents des forces de l’ordre). Il n’est pas destiné à être utilisé par les personnels soignants au contact des patients. Ce masque pourra être indifféremment proposé aux professionnels ou au grand public.
Performances :
Masque catégorie 1
Efficacité de filtration des particules de 3 μm : > 90%
Respirabilité : essai de perméabilité à l’air > 96 L./m².s-1 pour une dépression de 100 Pa
Recommandations et limite d’utilisation :
le temps de port du masque est limité à 4 heures.
Conception établie et testée sur porteur pendant 4 heures par nos soins. Il faut changer le masque quand vous souhaitez boire ou manger / quand il devient difficile de respirer / si le masque s’humidifie ou est mouillé par les intempéries / si le masque est endommagé / si le masque est déformé et ne tient plus correctement contre votre visage.
Recommandations de manipulation des masques :
- avant de mettre un masque, se laver les mains à l'eau et au savon ou avec une solution hydroalcoolique ;
- appliquer le masque de façon à recouvrir le nez et la bouche et veiller à l'ajuster au mieux sur le visage ; vérifier l'absence de jet d'air dans les yeux lors d'une expiration forte ;
- orsque l'on porte un masque : éviter de le toucher; ne pas déplacer le masque ;
- chaque fois que l'on touche un masque usagé, se laver les mains à l'eau et au savon ou à l'aide d'une solution hydroalcoolique ;
- pour retirer le masque : se laver les mains à l'eau et au savon ou avec une solution hydroalcoolique , décrocher l'enlever par derrière (ne pas toucher le devant du masque) ; le jeter immédiatement dans une poubelle fermée ou isolez le dans un sac en plastique en attendant de le laver ; se laver les mains avec de l'eau et au savon ou à l'aide d'une solution hydroalcoolique.
Entretien...
Lire la suite... La Mairie de Juvelize a offert un masque supplémentaire par habitant
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Aujourd'hui : L’église de la Madeleine
Sa construction s'est étalée sur 85 ans en raison des troubles politiques en France à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle. Les changements politiques de l'époque en firent modifier à plusieurs reprises la destination et les plans.
Conçu par Napoléon Ier comme un temple grec dédié à la gloire de sa Grande Armée en 1806, le bâtiment faillit être transformé en 1837 en gare ferroviaire, la première de Paris, avant de devenir une église en 1845.
C’est en raison du projet Napoléonien d’en faire un temple à la gloire des Armées françaises inspiré par l’architecture gréco-romaine, que cette église n’a pas grand chose… d’une église. Vous ne verrez ni croix ni clocher à l’extérieur, ni transept ni bas-côtés à l’intérieur.
Seul l’imposant fronton, représentant le Jugement dernier, nous rappelle finalement de l’extérieur la vocation religieuse de ce monument Sous le fronton, l'inscription en latin « D.O.M. SVB. INVOC. S. M. MAGDALENAE » (« Domino Optimo Maximo sub invocatione Sanctae Mariae Magdalenae ») signifie « Au Dieu très bon et très grand, sous l'invocation de sainte Marie-Madeleine ». L'édifice a une longueur de 108 mètres, une largeur de 43 mètres, une hauteur de 30 mètres et est ceinturé par 52 colonnes corinthiennes.
Pensez à passer en mode plein écran et à activer le son
Les marches de l’église offrent l’une des perspectives les plus célèbres de Paris : la rue Royale, la place de la Concorde, et le Palais Bourbon, siège de l’Assemblée Nationale.
C’est d’ailleurs Napoléon qui décida, en 1806, de doter le Palais Bourbon d’un péristyle, colonnade composée de douze colonnes, pour créer un effet de symétrie avec la Madeleine. Celle-ci fut achevée en 1810, alors que l’église, elle, était toujours en construction !
La fresque de Ziegler
Dans la demi-coupole au-dessus de l’autel est visible une vaste fresque, réalisée par Jules Ziegler entre 1835 et 1837. Nommée (sobrement…) Histoire du Christianisme, elle rassemble autour du christ des grands personnages qui ont marqué le christianisme d’Orient (à sa droite), et d’Occident (à sa gauche). À noter qu’au milieu de la fresque apparait Napoléon en grand manteau parsemé d’abeilles d’or, à qui l’évêque de Gênes remet le texte du Concordat. La Madeleine est la seule église parisienne où apparaît sur une fresque la figure de Napoléon.
Pour la petite anecdote, le projet initial de fresque avait été donné à un autre artiste, Paul Delaroche, qui partit étudier la peinture à Rome pour la bonne exécution de son oeuvre. Mais son absence dura un peu trop longtemps, et pendant qu’il étudiait en Italie, une nouvelle commande fut faite par le ministre de l’Intérieur de l’époque, Adolphe Thiers, au jeune artiste Jules Ziegler.
Vous pouvez voir sur la droite à l’intérieur de l’église une plaque...
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Nous avons évoqué hier Gabriel Fauré à l'occasion de notre visite de l'église de la Madeleine. Élève de Saint-Saëns et de Gustave Lefèvre à l’École Niedermeyer de Paris, il est d'abord maître de chapelle de l'église de la Madeleine à Paris. Il en assure plus tard les fonctions d'organiste, titulaire du grand orgue. Il est ensuite nommé professeur de composition au Conservatoire de Paris, puis directeur de l’établissement de 1905 à 1920. Nous retrouvons aujourd'hui sa musique dans un ballet ..
Jewels (Joyaux) de George Balanchine
Ce ballet fut pour Balanchine comme une symphonie en trois mouvements :
EMERAUDES : c’est Paris la poétique, la romantique, l’école de danse française qui représente poétiquement la grâce, les poses, les arabesques élégantes. La danseuse doit être féminine, délicate, rêveuse, bercée par la mélodie, ses lignes corporelles sont d’une grande pureté. Le tout sur la musique de Gabriel FAURÉ ( Pelleas et Melisande en 1888, et, Shylok en 1889)
RUBIS : c’est New-York la pétillante, la bouillonnante. C’est Broadway ! La danse y est pleine de vitalité, jazzy, rappelant la comédie musicale de Fred Astaire et Ginger Rogers. Il y a du déhanchement, de l’audace, des poses ondulantes sur la musique de Igor STRAVINSKY ( lequel fut un grand ami du chorégraphe – Il choisira Capriccio pour piano et orchestre avec ses accents martelés et syncopés. Une musique piquante et vigoureuse)
DIAMANTS : c’est la danse éclatante de Marius Petipa à St Pétersbourg. C’est le ballet blanc en tutus endiamentés, éblouissants, façon » le Lac des cygnes » ou » Casse Noisette » lors de la danse des flocons. C’est le grand romantisme de l’école de danse russe, le faste du style impérial sur la sublime musique de Piotr I. TCHAÏKOVSKY ( extraits de trois Symphonies écrites entre 1865 et 1875 : Rêve d’hiver, Petite Russie et Polocca.
L'intégral de ce ballet au théâtre Bolshoï de Moscou
George Balanchine est réuni dans ce merveilleux ballet : ses splendides Pas de Deux, ses élégantes et raffinées Arabesques, sa » danseuse idéale » très féminine, son hommage à trois villes et écoles de danse chères à son coeur … Tout est là !
Pourquoi un ballet sur les pierres précieuses ? L’idée lui est venue lorsque son ami le célèbre violoniste Nathan Milstein lui a présenté un jour Claude Arpels, de la prestigieuse Joaillerie de la 5e Avenue à New York. Van Cleef & Arpels c’est la classe, le luxe et le raffinement dans le bijou et une enseigne connue dans le monde entier.
Balanchine aimait beaucoup les bijoux et lorsqu’il vit la superbe collection de Monsieur Arpels, ce fut pour lui une grande source d’inspiration. Trois pierres vont le fasciner : l’émeraude, le rubis et le diamant. Toutes trois vont devenir un ballet qui sera créé pour le New York City Ballet en 1967 avec ses muses : Suzanne Farell, Violette Verdy, Patricia Mc Bride, Mimi Paul.
Violette Verdy (
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Comme nous l'avons déjà fait voici un nouveau cahier de dessins que nous vous invitons à feuilleter en cliquant sur l'image ci-dessous.
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