Musee Marmottan MonetNous vous l'annonçions hier,

Aujourd'hui : le Musée Marmottan Monet

Le musée Marmottan, devenu musée Marmottan Monet dans les années 1990, est un musée des beaux-arts situé à Paris. Il présente notamment une collection d’objets d’art et de tableaux du Premier Empire, ainsi que des œuvres de peintres impressionnistes dont la plus grande collection au monde d'œuvres de Claude Monet. Le musée est situé dans le 16e arrondissement de Paris à proximité du jardin du Ranelagh.

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Le musée a pour origine le don par l'historien d'art Paul Marmottan de son hôtel particulier et de ses collections de la Renaissance et de l'époque napoléonienne à l'Académie des Beaux-Arts en 1932.

En 1882, un pavillon de chasse situé près du bois de Boulogne, appartenant à la famille du duc de Valmy, est acheté par Jules Marmottan et transformé en hôtel particulier par son fils Paul Marmottan. L'hôtel héberge alors une collection de premier plan du père, passionné par le Moyen Âge et la Renaissance, et de son fils Paul, passionné par le Premier Empire. À sa mort, en 1932, Paul Marmottan lègue son hôtel et ses collections à...

culture malgacheHier, dans le jardin du Ranelagh, nous sommes passé à côté d'une stèle commémorative célébrant la fraternité d'armes franco-malgache durant les deux guerres mondiales. A notre tour de nous intéresser à cette culture lointaine mais aussi très proche d'une ile française : La Réunion !.

Soirée culturelle malgache 2019 de l'Association des Etudiants Malgaches de la Réunion

Vidéo intégrale à l'occasion des 25 ans de l'Association des Etudiants Malgaches de la Réunion (AEMR).

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Le peuple malgache est issu d'un vaste mélange tant humain que culturel. Cela est dû aux différentes origines du peuplement de l'île de Madagascar depuis des siècles déjà. Ainsi en fonction des régions, on voit se manifester différentes cultures. À Antananarivo, la capitale de l'ile, on ressent plus l'influence culturelle française et asiatique, tandis que dans certaines zones côtières on ressent plus l'influence africaine et arabe.

« Fady » peut se traduire par tabou. Ainsi l'autorité de « Razana » (l'ancêtre divinisé) est dictée à travers des ordres qui s'accompagnent de « fady ». Enfreindre un fady équivaut à se rendre coupable envers les ancêtres. De ce fait, une complexité et une diversité importantes d'interdits se créent en fonction de chaque personne selon son sexe, son appartenance familiale ou communautaire. Mais également selon le lieu (espace) et la période (le temps). Par exemple une personne peut être soumise à un fady communautaire (ne pas manger de porc), un fady temporel (ne pas travailler un mardi), ainsi qu'à un fady géographique (interdisant de transporter telle matière sur une rivière ou parler devant un endroit précis).

Différentes traditions issues des différentes cultures ont influencé les modes de vie malgaches tels que la circoncision des hommes par exemple.

Les Malagasy sont connus par leur créativité en particulier la musique, des plus flagrantes. Bien que géographiquement éloigné des circuits internationaux, en effet, Madagascar commence à bénéficier d'une audience internationale pour la qualité de sa musique et de ses musiciens, tant sur le plan traditionnel et traditionnel modernisé (musique du monde ou world music) que moderne (jazz, world jazz, gospel,rock, hip-hop). De nombreux artistes sont reconnus internationalement tels Rakoto Frah, Tony Rabeson, Silo Andrianandraina, Solorazaf, Hanitra, Nicolas Vatomanga.

Le film documentaire Songs for Madagascar (2017) du brésilien Cesar Paes présente l'aventure du Madagascar All Stars en 2015 et 2016 : Dama Mahaleo, Olombelona Ricky (en), Erick Manana, Régis Gizavo (1959-2017), Eusèbe Jaojoby (1955-), Justin Vali.

Dans un domaine plus classique, Madagascar possède un riche patrimoine avec le spectacle chanté populaire, opéra ou opérette, Hira Gasy ou Vakodrazana, qui remonterait au XVIIIe siècle. Composées de paysans-artistes (dont les ancêtres furent les mpihiran'ny Andrianana engagés par le roi Andrianampoinimerina à l'époque de l'édification des grandes rizières, les compagnies rassemblent chaque année des centaines de milliers de spectateurs.

Un art ancestral, un art vivant, un art sacré.

Source Wikipédia

 
 
 

 

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Comme nous l'avons déjà fait voici un nouveau cahier de dessins que nous vous invitons à feuilleter en cliquant sur l'image ci-dessous.

 

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Feuilletez les autres "cartons à dessins" en cliquant sur les images ci-dessous :

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Theatre de marionnettes du RanelaghNous allons nous rapprocher des lacs du Bois de Boulogne, mais avant interessons nous à ce qui nous à fait rêver losque nous étions enfant

Aujourd'hui : le théâtre de Guignol du Ranelagh

Le Jardin du Ranelagh abrite un théâtre de marionnettes réputé.

Le jardin public de six hectares a été créé en 1860 par le baron Haussmann en l'honneur de Lord Ranelagh. Il prolonge et remanie la chaussée et le parc de la Muette. Aménagé en triangle, le jardin actuel a été agrémenté au fil du temps de nombreux groupes sculptés.

C’est en 1930 que la ville de Paris édifie le castelet de marionnettes dans les Jardins du Ranelagh. En 1936 Louis Armand Bellesi anime le théâtre et au fil des ans crée des spectacles aux mises en scène soignées.

Au début des années 60 c’est Jean Willemin qui prendra la succession de Bellesi et apporte sa faconde et son talent de décorateur dans des aventures qui traversent les époques de l’histoire de France. Il sera suivi par Gérard Guyon, marionnettiste partisan d’un humour décalé.

En 1979 Pierre Lefaucheux, élève de Jean Willemin, devient à 21 ans le marionnettiste animateur du castelet. Fortement influencé par son mentor, Pierre Lefaucheux s’efforce depuis, de perpétuer la tradition de spectacles vivants et de qualités qui laissent la part belle à la participation des spectateurs grands et petits, sans oublier l’impertinence qualité cardinale des représentations de Guignol depuis le 19ème siècle. Et cela dure au théâtre du Ranelagh depuis près d'un siècle...

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Sur sa bordure occidentale se trouve le musée Marmottan Monet.que nous visiterons demain.

Le jardin était bordé :

  • au nord, jusque vers 1920, par la clôture du parc du château de La Muette, ancien domaine royal qui appartenait depuis 1820 au facteur de pianos et de harpes Sébastien Érard puis à ses héritiers. Un quartier résidentiel s'étend
  • sur la partie sud de l'ancien parc, le domaine de l'OCDE au nord ;
  • sur son côté sud, jusqu'en 1985, par la ligne de chemin de fer de la Petite Ceinture, dont la gare de la Muette desservait le jardin (une passerelle le reliait par ailleurs au boulevard de Beauséjour). Depuis 2007, la Petite Ceinture du 16e est ouverte aux piétons. À cette occasion, de nouvelles essences rares ont également été plantées. À la demande de l'ambassade de Madagascar, une stèle commémorative célébrant la fraternité d'armes franco-malgache durant les deux guerres mondiales a été installée.

Dans un manège qui compte parmi les plus anciens de Paris. Avec des chevaux de bois, il fonctionne toujours à la manivelle. Une rotonde se trouve à l'emplacement d'un ancien kiosque à musique.

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 Pour en savoir plus, cliquez sur le lien du théâtre de marionnettes du Ranelagh ci-dessous

 
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stay homeUn rendez-vous imprévu, mais auquel nous n'avons pu résister

« Dire merci » - Message de soutien du Ballet de l'Opéra national de Paris

En ce temps d’arrêt, des spectacles à l’Opéra national de Paris, des membres issus des trois corps artistiques de l’institution, l’Orchestre, les Chœurs et le Ballet ont tenu à remercier à leur manière tous ceux qui sont aujourd’hui en première ligne dans la lutte contre la pandémie. Ces initiatives spontanées sont le fruit de leur volonté d’exprimer leur profonde gratitude et leur soutien à tous ceux qui travaillent avec dévouement et courage pour nous protéger.

Vidéo réalisée par Cédric Klapisch.

C’est après avoir reçu un lien Twitter sur la vidéo réalisée par le Ballet de Rome, qu’est venue l’idée de réaliser une vidéo avec mes collègues du Ballet de l’Opéra de Paris. L’image était simple: les danseuses et danseurs dans leur quotidien de confinés continuant à s'entraîner malgré les espaces exigus, la vie familiale, le manque des proches.

Non seulement, cette vidéo était la preuve quel que soit le métier, nous devions rester chez nous, mais aussi un formidable message de remerciement et de soutien envoyé à l’ensemble des personnes qui oeuvrent pour que nous puissions bientôt retrouver nos studios, nos salles de spectacle et surtout notre public. Il m’a paru évident de proposer l’idée de réaliser cette vidéo à mes collègues du ballet.

Leur enthousiasme et leur volonté de délivrer ces messages étaient présents dès le début.

Quelques jours après, nous avons été contactés par le réalisateur Cédric Klapisch qui souhaitait nous proposer la même idée. Nous avons évidemment décidé d’unir nos forces. Le projet devenait concret, et plutôt que de le réaliser “dans notre coin”, nous avons informé la Direction de l’Opéra de Paris.

Leur réaction, leur soutien, leur aide, ont grandement contribué à la mise en place de ce projet.

Le Directeur musical Mr. Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra national de Paris ont accepté de soutenir ce projet en donnant leur accord pour l’utilisation de la Danse des Chevaliers (n°13)​ ​extrait de la partition de Roméo et Juliette. La musique puissante et lyrique de Sergueï Prokofiev magnifiquement composée et dirigée, illustre bien trois sentiments que chacun où qu’il soit a ressenti face cet ennemi invisible: la peur, l’espoir, puis enfin une volonté de relever la tête et de venir à bout de cette situation dystopique.

C’est grâce à cette mobilisation nationale et à ces Français qui par leur dévouement ont permis à tout un pays de vivre, certes au ralenti, mais de continuer à vivre et à nous fournir l’essentiel vital tel que ravitailler les magasins, faire circuler le courrier, maintenir le réseau internet pour garder le lien avec nos proches, continuer d’instruire nos enfants, être aidé, être soigné, être sauvé.

L'adaptation en un temps record des entreprises et de leur chaîne de productions sont venues appuyer cet élan de solidarité. Plusieurs initiatives artistiques ont déjà participé à ce soutien. Il nous a semblé essentiel que l’Opéra national de Paris en sa qualité...

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