Nous voici dans le Bois de Boulogne alors peut-être, allons-nous découvrir...

belle bois dormantLa Belle au bois dormant de Tchaikovsky: 

Parmi les versions les plus célèbres figurent celle de Charles Perrault, publiée en 1697 dans Les Contes de ma mère l'Oye, et celle des frères Grimm (Dornröschen) publiée en 1812. Elle est fondée sur Soleil, Lune et Thalie de Giambattista Basile (publié à titre posthume en 1634), un conte lui-même fondé sur un ou plusieurs contes populaires. Une des premières versions connues de l'histoire est Perceforest, composé entre 1330 et 1344 et imprimé en 1528. Mais on peut aussi mentionner la version provençale (parfois considérée comme catalane) de la même époque que constitue Frayre de Joy e Sor de Plaser

À l’occasion du baptême de leur fille, le roi et la reine organisent une fête somptueuse, invitant famille, amis et sept fées marraines (ou trois fées selon les versions) bienveillantes de l'enfant. Chacune d'elles offre un don à la princesse : beauté, grâce, etc.

Brusquement une méchante fée, qui n’a pas été invitée, se présente et lance à la princesse un charme mortel : lors de son quinzième anniversaire , la princesse se piquera le doigt sur le fuseau et en mourra. Heureusement,...

Lac supérieur du bois de BoulogneNous sommes maintenant à l'orée du bois...

Aujourd'hui : le Bois de Boulogne

C'est une étendue boisée, située dans le 16e arrondissement de Paris. Couvrant une superficie de 846 hectares dans l'ouest de la ville, le bois de Boulogne peut être considéré comme l'un des « poumons » de la capitale. Deux fois et demi plus grand que Central Park à New York, et 3,3 fois plus grand que Hyde Park à Londres, il est cependant 5,9 fois plus petit que la forêt de Soignes à Bruxelles et occupe seulement la moitié de la surface de la Casa de Campo de Madrid. Le bois de Boulogne occupe une partie du site de l'ancienne forêt de Rouvray.

La partie centrale du bois contient le parc de Bagatelle, ainsi que le jardin du Pré-Catelan. Sa partie nord est occupée par le Jardin d'acclimatation, un parc d'attractions jadis célèbre pour sa ménagerie et aujourd'hui pour abriter la fondation Louis-Vuitton. Au sud-est se situe le jardin des serres d'Auteuil et les cours de Roland Garros. Au sud-ouest, entre l'hippodrome de Longchamp et le parc de Bagatelle, se trouvent les château et domaine de Longchamp qui abritent depuis 2015 la fondation GoodPlanet. Au Sud l'hippodrome d'Auteuil.

Aménagements sous Napoléon III

En 1852, la propriété du bois de Boulogne est cédée par Napoléon III à la ville de Paris, qui est alors chargée d'aménager l'espace vert en quatre ans. Les travaux débutent l'année suivante. Dans un premier temps, c'est l'architecte Jacques Hittorff associé au paysagiste Louis-Sulpice Varé, qui se charge des travaux (création de jardins, de voies et de plans d'eau artificiels).

L'empereur désire la réalisation d'une rivière à l'instar de la Serpentine de Hyde Park à Londres. Les travaux sont bien entamés quand le baron Haussmann s'aperçoit qu'un défaut de nivellement asséchera la partie haute et inondera la basse. Varé, qui avait oublié le dénivelé de 6 mètres dans son projet de la rivière artificielle, est alors congédié par Haussmann, nommé préfet de la Seine entre-temps et remplacé par l'ingénieur Adolphe Alphand (parc Monceau, Montsouris, bois de Vincennes) associé au paysagiste Jean-Pierre Barillet-Deschamps (aménageur du parc des Buttes-Chaumont). Les sols et reliefs sont remodelés, 200 000 arbres y sont plantés suivant le tracé et les conseils pour les plantations de Barillet-Deschamps. Seules deux allées rectilignes (celles de Longchamp et de la Reine-Marguerite) sont conservées par la nouvelle équipe qui transforme la rivière de Varé en deux lacs, avec une rétention d'eau dans le lac Supérieur, le trop-plein se déversant dans le lac Inférieur par la Petite Cascade. Un pont relie les deux îles.

Entre 1855 et 1858, l'hippodrome de Longchamp est construit sur la plaine du même nom. Dans le même temps, la pointe du bois située au sud de la butte Mortemart, entre la rue des Princes à Boulogne (actuelles rue Denfert-Rochereau et rue des Princes) et l'avenue du Parc-des-Princes à Auteuil est aménagée par le duc de Morny dans le cadre d'une vaste opération immobilière de luxe supervisée par le baron Haussmann.

Lors...

Musee Marmottan MonetNous vous l'annonçions hier,

Aujourd'hui : le Musée Marmottan Monet

Le musée Marmottan, devenu musée Marmottan Monet dans les années 1990, est un musée des beaux-arts situé à Paris. Il présente notamment une collection d’objets d’art et de tableaux du Premier Empire, ainsi que des œuvres de peintres impressionnistes dont la plus grande collection au monde d'œuvres de Claude Monet. Le musée est situé dans le 16e arrondissement de Paris à proximité du jardin du Ranelagh.

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Le musée a pour origine le don par l'historien d'art Paul Marmottan de son hôtel particulier et de ses collections de la Renaissance et de l'époque napoléonienne à l'Académie des Beaux-Arts en 1932.

En 1882, un pavillon de chasse situé près du bois de Boulogne, appartenant à la famille du duc de Valmy, est acheté par Jules Marmottan et transformé en hôtel particulier par son fils Paul Marmottan. L'hôtel héberge alors une collection de premier plan du père, passionné par le Moyen Âge et la Renaissance, et de son fils Paul, passionné par le Premier Empire. À sa mort, en 1932, Paul Marmottan lègue son hôtel et ses collections à l'Académie des Beaux-Arts qui en fait un musée qui s'ouvre au public en 19341.

Durant près d’un siècle, le musée a bénéficié de legs et de donations d’une envergure sans égale, notamment en 1957 lorsque Victorine Donop de Monchy donne définitivement au musée les onze tableaux impressionnistes (dont Impression, soleil levant) qui lui restent de son père Georges de Bellio. En 1966, Michel Monet, dernier descendant direct de Claude Monet, lègue la collection personnelle de tableaux et 89 peintures de son père. L’architecte académicien et conservateur du musée, Jacques Carlu, fait alors construire sous le parc de l'hôtel une salle pour recevoir cette collection, inspirée de celle des grandes décorations du musée de l'Orangerie et inaugurée en 19702.

En 1980, Daniel Wildenstein offre la collection d'enluminures de son père Georges Wildenstein. En 1985, la fille adoptive d'Henri Duhem donne également l'ensemble de la collection de tableaux de son père au musée. En 1993, les petits-enfants de Berthe Morisot, Denis et Annie Rouart, lèguent leur collection par l'intermédiaire de leur fondation (25 toiles, une cinquantaine d'aquarelles et la collection d'impressionnistes de leur aïeule). Cela fait de ce musée le dépositaire du premier fonds mondial d’œuvres de Claude Monet et de Berthe Morisot3.

Le 27 octobre 1985, neuf tableaux impressionnistes sont volés en plein jour à la suite d'un vol à main armée, dont quatre Monet (notamment son célèbre Impression, soleil levant), et deux Renoir. Le groupe de voleurs, appelés plus tard le « gang d'Aubervilliers », les revend à Shinichi Fujikuma, un Japonais en relation avec les yakuzas, qui est arrêté en 1987 et toutes les toiles sont retrouvées en décembre 1990 à Porto-Vecchio chez un bandit corse

Les Impressionnistes : exposition "Les Impressionistes en privé" au musée Marmottan Mone

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masque chirL'Académie nationale de médecine a recommandé, début avril, de rendre obligatoire le port du masque lorsque la population sera sortie du confinement le 11 mai, comme l'a annoncé Emmanuel Macron. Mais beaucoup de Français en portent déjà pour sortir, car les scientifiques craignent une contamination par le coronavirus par voie aérienne, notamment par le simple fait de parler à quelqu'un.

Alors, si vous avez déjà la chance d'en avoir un, comment bien utiliser ce masque anti-projections (de type chirurgical) ? Franceinfo fait le point sur les bonnes pratiques à adopter car, mal utilisé, le port du masque peut s'avérer contre-productif.

1- Identifier le bas et le haut du masque

Avant de manipuler un masque, vous devez impérativement vous laver les mains avec du savon ou les désinfecter avec un gel hydroalcoolique.

Prenez le temps d'identifier le sens dans lequel le masque doit être positionné. Le masque chirurgical possède une barre métallique, qui doit être placée sur le haut du visage car elle sert à pincer la narine.

Si votre masque possède une couleur, cette couleur est forcément toujours à l'extérieur.

2- Bien positionner le masque sur son visage

Attrapez votre masque par les élastiques et passez-les derrière vos oreilles. Dépliez votre masque de façon à ce qu'il recouvre bien le nez et le menton. Pincez la barrette métallique sur le nez pour ajuster le haut du masque.

Quand vous soufflez, vous ne devez pas avoir d'air dans les yeux. Si vous portez des lunettes et que vous avez de la buée sur vos verres, cela signifie que le masque est mal positionné. Prenez le temps de l'ajuster pour ne pas avoir à y toucher ensuite.

3- Ne pas le toucher pendant que vous le portez

Une fois qu'il est positionné, vous ne devez en aucun cas le toucher. Le fait de toucher la partie principale du masque risque en effet de le contaminer. Il ne faut pas non plus l'enlever ou le baisser pour découvrir sa bouche et s'adresser à quelqu'un, par exemple. Encore moins le laisser pendre autour du cou comme un foulard.

Un masque chirurgical a une durée de vie de quatre heures environ. Il ne faut donc pas réutiliser un masque à usage unique. Une fois que le masque a été retiré, on ne le remet pas sur son visage. Si le masque s'humidifie, il faut le remplacer par un nouveau masque.

4- L'enlever en l'attrapant par les élastiques

Avant de le retirer, lavez-vous ou désinfectez-vous les mains. Si vous portez des gants, retirez-les.

Attrapez de nouveau le masque par les élastiques et, sans toucher l'avant du masque, jetez-le dans une poubelle fermée.

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culture malgacheHier, dans le jardin du Ranelagh, nous sommes passé à côté d'une stèle commémorative célébrant la fraternité d'armes franco-malgache durant les deux guerres mondiales. A notre tour de nous intéresser à cette culture lointaine mais aussi très proche d'une ile française : La Réunion !.

Soirée culturelle malgache 2019 de l'Association des Etudiants Malgaches de la Réunion

Vidéo intégrale à l'occasion des 25 ans de l'Association des Etudiants Malgaches de la Réunion (AEMR).

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Le peuple malgache est issu d'un vaste mélange tant humain que culturel. Cela est dû aux différentes origines du peuplement de l'île de Madagascar depuis des siècles déjà. Ainsi en fonction des régions, on voit se manifester différentes cultures. À Antananarivo, la capitale de l'ile, on ressent plus l'influence culturelle française et asiatique, tandis que dans certaines zones côtières on ressent plus l'influence africaine et arabe.

« Fady » peut se traduire par tabou. Ainsi l'autorité de « Razana » (l'ancêtre divinisé) est dictée à travers des ordres qui s'accompagnent de « fady ». Enfreindre un fady équivaut à se rendre coupable envers les ancêtres. De ce fait, une complexité et une diversité importantes d'interdits se créent en fonction de chaque personne selon son sexe, son appartenance familiale ou communautaire. Mais également selon le lieu (espace) et la période (le temps). Par exemple une personne peut être soumise à un fady communautaire (ne pas manger de porc), un fady temporel (ne pas travailler un mardi), ainsi qu'à un fady géographique (interdisant de transporter telle matière sur une rivière ou parler devant un endroit précis).

Différentes traditions issues des différentes cultures ont influencé les modes de vie malgaches tels que la circoncision des hommes par exemple.

Les Malagasy sont connus par leur créativité en particulier la musique, des plus flagrantes. Bien que géographiquement éloigné des circuits internationaux, en effet, Madagascar commence à bénéficier d'une audience internationale pour la qualité de sa musique et de ses musiciens, tant sur le plan traditionnel et traditionnel modernisé (musique du monde ou world music) que moderne (jazz, world jazz, gospel,rock, hip-hop). De nombreux artistes sont reconnus internationalement tels Rakoto Frah, Tony Rabeson, Silo Andrianandraina, Solorazaf, Hanitra, Nicolas Vatomanga.

Le film documentaire Songs for Madagascar (2017) du brésilien Cesar Paes présente l'aventure du Madagascar All Stars en 2015 et 2016 : Dama Mahaleo, Olombelona Ricky (en), Erick Manana, Régis Gizavo (1959-2017), Eusèbe Jaojoby (1955-), Justin Vali.

Dans un domaine plus classique, Madagascar possède un riche patrimoine avec le spectacle chanté populaire, opéra ou opérette, Hira Gasy ou Vakodrazana, qui remonterait au XVIIIe siècle. Composées de paysans-artistes (dont les ancêtres furent les mpihiran'ny Andrianana engagés par le roi Andrianampoinimerina à l'époque de l'édification des grandes rizières, les compagnies rassemblent chaque année des centaines de milliers de spectateurs.

Un art ancestral, un art vivant, un art sacré.

Source Wikipédia

 
 
 

 

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