Demain, 2 avril 2020, aura lieu à Dieuze une collecte de sang et nous vous attendons nombreux pour tendre le bras.
Pendant le confinement, il est important de savoir qu’on peut toujours aller donner son sang. L’Etablissement Français du Sang continue à réaliser des collectes en ce moment et elles connaissent d’ailleurs un grand succès. Un véritable élan de générosité a été constaté dans la région depuis la semaine dernière.
Pour accueillir les donneurs dans les meilleures conditions, les mesures d’hygiènes ont été renforcées.
Si vous vous sentez en bonne santé, n’hésitez pas à venir donner votre sang. Et même si vous êtes porteur du COVID-19 sans le savoir, sachez qu’il ne se transmet pas par le sang.
Pour aller donner votre sang, il vous suffit de remplir l’attestation en cochant la case 4 : « Assistance à personne vulnérable ».
Pour les primos donneurs, merci de vous munir d'une pièce d'identité. Pour tous, merci de bien vous hydrater et de ne pas venir à jeun. Besoin d'autres renseignements, n'hésitez pas. À demain. Merci de partager au plus grand nombre.
Collecte de sang de 9h à 12h30 et de 15h30 à 19h30 à la Délivrance à Dieuze
En France, en vertu de l'article L. 1221-5 du Code de la santé publique, aucun prélèvement de sang ne peut avoir lieu sur une personne mineure, hormis à titre exceptionnel, en cas d'urgence thérapeutique et avec le consentement des parents. L'âge minimum pour pouvoir faire un don de son sang est donc l'âge légal de la majorité, à savoir 18 ans en France.
En France, le donneur doit être âgé :
de 18 à 70 ans pour un don de sang total (les dons de personnes de plus de 65 ans sont soumis à l'appréciation d'un médecin d'établissement pour chaque don),
de 18 à 65 ans (66e année exclue) pour un don de plasma,
de 18 à 65 ans (66e année exclue) pour un don de plaquettes,
de 18 à 50 ans pour un don de globules blancs.
Concernant la limite haute, le don de sang est possible jusqu'à la veille du 71e anniversaire, et ce malgré l'allongement de l'espérance de vie de personnes en excellente santé.
On a donc d'un côté une limitation juridique, résultant de la nécessité d'un consentement libre et éclairé à l'acte de prélèvement (on considère que le mineur n'est pas suffisamment éclairé par principe), et d'un autre, une limitation d'ordre médical.