Il faut dire que la perche (pas le poisson) était géante pour un poisson d'avril, le chercheur de l'INRAP qui s'est déplacé  vendredi dernier à Haraucourt pour expliquer les enjeux de la protection des recherches archéologiques s'appelle Laurent FORELLE (truite en allemand) ... et là je n'invente rien !

De là à imaginer lors du décaissement de notre lagunage, la découverte de vestiges qui rendraient célèbre notre beau village, il n'y avait qu'un pas... que j'ai bien naturellement franchi.

J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop d'avoir respecté cette tradition du poisson d'avril qui au moins une fois par an nous redonne une âme d'enfant, mais que bien au contraire cela vous donnera envie de mieux connaître notre village où il fait bon vivre.

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